Le manque d'accès à l'eau potable est la première cause de mortalité dans le monde.
Sans eau, il n'y pas de vie, ni de développement possible car il faut de l'eau pour l'agriculture ou pour la plupart des activités économiques.
Le rapport des Nations Unis (UNESCO et UN WATER) publié en 2019 indique que : « Trois personnes sur dix n'ont pas accès à des services en eau potable gérés en toute sécurité, soient 2,1 milliards de personnes. Près de la moitié des personnes qui puise leur eau potable directement dans des eaux de surface vit en Afrique subsaharienne. Six personnes sur dix n'ont pas accès à des installations sanitaires gérés en toute sécurité et une personne sur neuf pratique la défécation à l'air libre. Cependant, ces chiffres mondiaux masquent les inégalités profondes qui existent au sein et entre les régions, les pays, les communautés et les quartiers ».
L'accès à l'assainissement, c'est une question de dignité mais aussi d'hygiène et de santé.
Si les eaux de surface (rivière, mare,..) sont polluées par des déjections animales ou humaines, elles deviennent alors dangereuses pour les personnes qui les boivent. C'est ainsi que l'eau est la première cause de mortalité dans le monde.
Des outils de solidarité existent pour permettre aux populations les plus défavorisées, notamment en Afrique et en Asie, d'avoir un meilleur accès à l'eau et à l'assainissement.
Ainsi la Belgique développe des actions de coopération dans différents pays du monde pour permettre de faire des forages, installer des pompes ou développer l'assainissement (installation de latrines).
La SPGE s'implique également beaucoup en Afrique afin de fournir un meilleur niveau de vie aux populations et de les sensibiliser les aux bons gestes.